Chez Saprea, notre position inébranlable est qu’un enfant n’est jamais en mesure de donner son consentement à quelqu’un pour qu’il l’abuse sexuellement. Nous savons que les enfants capables peuvent apprendre à appliquer les principes du consentement à un jeune âge. Et au fur et à mesure qu’ils grandissent, mûrissent et se trouvent dans des situations où ils ont du pouvoir ou de l’influence sur un autre individu, ils seront capables de respecter suffisamment l’autre personne pour ne pas agir d’une manière qui cause un préjudice sexuel (ou autre). cs_text: content

Le consentement comprend :

  • Donner (et recevoir) le respect.

  • L'intérêt mutuel permanent.

  • La capacité à comprendre et à accepter toute action avant qu'elle ne se produise.

  • La possibilité de se retirer d'une activité à tout moment.

Les parents sont souvent surpris par ce qui suit : comme le consentement et les limites vont de pair, l’enseignement du consentement peut commencer dès le plus jeune âge. Au fur et à mesure que les enfants s’entraînent à donner du respect, à lire le langage corporel pour comprendre l’intérêt mutuel et à honorer le « non » d’une autre personne, ils comprendront que le consentement se produit dans des situations qui n’ont rien à voir avec le sexe.

Votre enfant peut pratiquer les principes du consentement lorsqu’il veut emprunter des vêtements à un frère ou une sœur et respecter le « non ». Vous donnez l’exemple du consentement lorsque vous chatouillez ou jouez à la lutte avec votre enfant et vous arrêtez lorsqu’il vous le demande. Votre enfant pratique le consentement lorsqu’il exprime un intérêt romantique pour un autre enfant et, lorsque ce n’est pas réciproque, il comprend que pour qu’une relation se développe, il faut qu’il y ait un intérêt mutuel. En s’exerçant à donner et à recevoir le consentement dans de petites activités quotidiennes, votre enfant se prépare à des situations futures où les enjeux sont plus importants.

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